Les familles sont restées sans nouvelles de leurs proches à partir de juillet 44, aussi imagine-ton leur angoisse, puis leur soulagement lorsque des nouvelles, même lapidaires, leur sont parvenues après la libération des camps. En voici un exemple, avec juste quelques mots qu’une conductrice de la Croix-Rouge a bien voulu faire parvenir à une mère sans nouvelles de son fils depuis 9 mois :