Pour les familles dont l’enfant ou le conjoint avait été arrêté, et qui ne pouvaient avoir de contacts directs avec lui, un recours consistait à s’adresser à une religieuse pour servir d’intermédiaire. Certains secours inattendus sont ainsi parvenus aux détenus.
Le 9 décembre 43, Sœur Elisabeth attache cette médaille miraculeuse à l’un des vêtements propres qu’elle avait l’autorisation d’apporter à la prison de Pierre-Levée. Elle ne saura qu’après la guerre que cette médaille lui est bien parvenue.