Le 2 septembre 1943 à 10 heures du matin, cinq Allemands pénètrent au domicile des parents de Gaston Marceteau pour y faire une perquisition. Lui-même vient d’être arrêté dans la rue Paul Doumer, tout proche.
Cette perquisition ne donne rien, ainsi que l’explique sa mère, dans le journal qu’elle tient à compter de ce jour : « Cependant ils n’ont rien trouvé ici de compromettant pour Gaston. Fort heureusement tous est bien caché. Les jours qui suivent vont voir brûler un beau parachute. »
Les mousquetons et le chapelet servant d’antenne sont tout ce qui reste de ce parachute.