« Comment les nazis ont-ils pu créer les camps de concentration et d’extermination ? Comment répondre à cette question ? Car, enfin, où était l’homme dans ce drame, devant tant de sang versé, de massacres et de carnages, où était l’homme avec son intelligence, sa conscience et son cœur ?
Devant l’immensité de ce crime, comment ne pas ressentir au cœur une souffrance aigüe, un sentiment mêlé d’épouvante, de révolte, et d’infinie horreur. »
(Source : Discours du cinquantenaire de la libération des camps – La Roche-sur-Yon)